Pour commencer la séance, Loïc lance un appel: il faut deux volontaires pour aller suivre une formation sur le montage à Angers en Avril. Cette formation est offerte par la FFCV. Les deux volontaires prendront des notes lors de cette formation pour pouvoir la transmettre, à leur tour, à tous les cvnistes.
Pierre nous fait un petit bilan très rapide du retour du questionnaire. Quelques uns ne l'ont pas encore rempli.
Il passe le micro (une bonne chose: désormais on entend ce que dit l'animateur et ceux qui donnent leurs remarques) à Gilbert qui va animer la soirée.
De la sueur et du Fer de Loïc Renimel
Un maréchal ferrant s'affaire à la réalisation d'un fer à cheval. Il met tant d'énergie qu'il transpire à grosse goutte. Un film dynamique avec une bonne ambiance, un bon rythme. Certains relèvent un problème de rythme des coup de marteau différents entre les plans, je ne suis pas tout à fait d'accord pour dire que c'est un problème car il n'y a pas de musicalité recherché dans les coups. L'homme est nerveux, il y a un décompte, il n'a pas le temps de faire les choses de façon aussi rigoureuses qu'impose un rythme musical.
En tout cas Loïc nous promet du fer et de la sueur. La promesse est tenue.
Le Plancher de Cecile Guieu et Marie Boivent
Une amie a décidé d'apporter une touche d'originalité à l'appartement de Cécile: tous le mobilier est désormais intégrer au plancher (il faut voir le film pour comprendre !).
Les avis qui en ressortent: des difficultés à entrer dans le film, des longueurs ou redites. En revanche on note une très bonne utilisation du décor (heureusement car c'est l'essence du film), un bon concept. La film faisant partie d'une trilogie, Cécile nous replace dans le contexte et nous explique que la fin de ce film boucle la boucle de trilogie.
Vincent de Michel Body
Un film très pédagogique sur Vincent Van Gogh. Une copie 0: il reste encore des éléments à mettre en place: voix off, musique, entre autre.
Les avis qui ont été donnés: Point faible: la forme, trop disparate mélangeant peinture, image réelle, images solarisées,… Points fort: le fond, on apprend quelque chose.
Sale Temps pour les chiens dialogue de André Eychenne, réalisé par Didier Jodar et André Charpentier
Scène de vie courante entre voisins dans une petite commune.
Le son est saturé et désagréable, ce qui n'aide pas à apprécier le film qui manque un peu de respiration. Le dialogue qui est la base du film sonne faux et parfois on perd le fil. Par contre je trouve que les comédiens, malgré le dialogue difficile à rendre naturels, s'en tirent très bien.
Fin de soirée. Il est l'heure d'aller se coucher