Séance du 8 Mai 2015

14, 18 (?) présents lors de cette journée commémorative du 8 mai 1945.

Les dernières Rencontres Régionales
24, 25 et 26 avril 2015.
Le palmarès a été ‘courriélé’ à tous les membres du club + [voir le compte rendu] (site du club) de Michel Body.

Projets tournage :
-André Eychenne a constitué une équipe qui va réaliser un court à partir d’un scénario de son cru. Demande de script- girl ou boy entre autre.
  André se propose également d’aider ceux qui ont des idées à les développer (scénario/ découpage…).

-Gilbert Augereau se dit très déçu du manque de participants à son projet (fiction autour d’un manège/ tournage le 30 mai/ Ile de Saint-Sébastien).

Projection de la soirée :
-bande annonce de Didier, histoire de remetttre en mémoire le concours interne CVNA, le 26 juin, sur le thème de FEU(X).

-3 films de ces dernières Rencontres Régionales :
  ‘L’adieu’, expression libre de Michel Pigneul (3ème Œil Angers) qui a d’ailleurs obtenu le prix de L’EXPRESSION LIBRE et une sélection au National (fin septembre à Vichy) :
« L’impermanence…Tout ce qui apparaît est voué à disparaître » ou comment transcender le banal (tronçonnage d’un vénérable arbre). Images sublimées par une partition musicale intense.
   Beaucoup, ce soir, n’ont pas accroché au concept.
   A déplorer une police de de titre particulièrement inesthétique et un déroulé générique final tremblotant.

   ‘Flic, mais pas que…’ fiction de Pascal  Schram (Vidéo Club Cessonnais), qui obtenu le prix Ciné Ouest et  a été sélectionné également pour le prochain National :
« Freddy Lallande, un flic de choc aux méthodes musclées… »
Une très honorable réalisation à l’humour décalé qui aurait pu aller encore plus loin dans l’absurde.

  ‘Grand Lieu’ documentaire de Jean René Barillère (Ciné Vidéastes Vihiersois) qui n’a aucune parenté avec Marc Barillère du CVNA.
  Le lac de Grand-Lieu en vue aérienne incrustée d’autres plans (interviews…)
  « Un documentaire comme on en faisait dans les années 50 ! », « C’est vieillot ! » s’exclament certains.
  Les autres ne disent rien ; qui ne dit mot consent ?

23 heures sonnent pour les courageux, venus s’enfermer en salle ce soir, leur libération en ce 8 mai !

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